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 |  Sujet: Entrainement d'Igor de Retzenski. 14/1/2010, 21:03 | |
| Entrainement d'Igor de Retzenski
Ici figurereont les entrainements d'Igor de Retzenski. |
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| | Sujet: Re: Entrainement d'Igor de Retzenski. 14/1/2010, 23:00 | |
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Entrainement d'Igor de Retzenski
Que le temps est long...
J'étais arrivé depuis peu au Centre-équestre, que le voyage fut long, et personne n'était encore venu me voir. J'étais fortement intrigué par ces personnes, ceux qui me regardaient de loin, mais n'osaient s'approcher. Enfin, une fois perdu dans mes pensées, j'entendis quelqu'un s'approcher. Une voix l'appelait, elle s'appelait Chloé, et je me réfugia rapidement au fond de mon box. La jeune femme ouvrit la porte. Le bruit sourd qu'effectuait le verrou me résonnait dans la tête, je n'étais vraiment pas rassuré, mais je ne bougeait pas, la regardant dans les yeux. Là, elle s'imobilisa devant moi, et me contempla. Je n'osais bouger, qu'allait elle bien faire? Je n'en savais rien, et elle arriva à mes côtés, tendant sa main et caressa d'une douceur extrême mon encolure. Là, le seul reflex que j'eus fut celui de mettre les oreilles en arrière, agitant la tête, et tournant vivement la queue. Que je suis mal-aimable, pensais-je à ce moment, mais celà m'était bien égal! Chloé semblait indiférente à mes réprimandes, celà m'embétait bien. Puis, elle me passa l'etrille. Je ne dis trop rien, je préférait alors machonner ma paille fraîche de la matinée. Cependant, lorsque la jeune femme s'approchait bien trop de moi, je lui rapellait vite fait que j'avais un bien mauvais caractère. Elle osa me donner une tape sur l'encolure, la malheureuse! Là, je rentrais les oreilles, et lui montrait les dents tel un chien d'attaque, et je le poussais violement contre le mur. Puis, je la laissais, Chloé préféra partir précipitement. Je la regardait, je ne voulais pas qu'elle s'en aille, une fois encore, je m'y étais mal pris. Je restais ensuite seul, de longues heures, encore et encore. Je m'ennuyais déséprément dans cet espace clos, je révais de pouvoir gambader comme je le fis précédement. Mais rien, je restais là, à observer les chevaux qui passaient dans les écuries. Que je révais d'être auprès de mon disparu propriétaire. Il me manquait. Puis, vint la fin de la journée, je me hâta de termine ma ration, on ne sait jamais, mes voisins auraient vite fait de me la manger. La nuit tombait vite ici, mais je m'ennuyais toujours, vivement demain.
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