J'observais la scène de loin, celà m'inspirait, je pris le mors au dents, comme j'ai l'habitude de le faire, et je partis vivement au galop. La forte tension qu'exerçait Chloé sur ma bouge m'énèrvait d'avantage, je fit de bons coups de culs à la suite. Mais, la cavalière restait déséspérément sur mon dos, à me brûler la bouche, me rayer les dents, me casser l'encolure. Je n'en pouvais plus, elle réussit à me faire lever la tête suffisement haut, je ne pouvais plus voir où j'allais, quand, je stoppais net, et d'un violent coup de cul, la cavalière se retrouvait dans le sable. J'en étais bien content, je m'approchais de la cavalière, afin qu'elle me regarde, qu'elle comprenne que j'étais fière de mon acte. Dès qu'elle se releva, je partis loin, au galop, je grattais nerveusement le sol de mon antérieur, et regardais Lady Chocolate attentivement. Que je haie les centres-équestre! Je regrette ma vie d'avant. Qu'ais-je fait pour mériter ceci? Chloé arriva vers moi, et je me montrais fort menaçant. Elle attrapa les rênes, elles n'étaient pas jolies, abîmées, je ne les aimais pas. La cavalière voulut remonter sur mon dos, mais je fis un violent écart. Je m'élevais successivement, de quelques centimètres, je ne voulais pas. Puis, au bout de bien de temps, je la laissais monter sur mon dos. A présent, elle n'avait plus droit à l'erreur. Elle n'osait me toucher, j'avais réussis ce que j'avais voulu faire, sa main était cependant toujours extrêmement dur. Je marchais sur la piste, comment avions nous pu en arriver là?

A coter de moi un autre cheval en faisait qu'as sa tête sauf que lui il avait réussi à faire tomber sa cavalière. Mais c'était Chloé ! Celle qui m'avait si bien monter l'autre jour, ma cavalière préférer ! Alors sa non je n'accepterais pas qu'on fasse du mal à la seul cavalière correcte de ce centre ! Je m'arrête brusquement puis commence à gratter du sabot quand je sens des coups secs arriver à ma bouche, cela me faisait mal et ma faisait relever ma tête, Alexandre avait trouver une technique que je détester plus que tut au monde, Sylvia ne l'avait jamais utiliser pour me calmer. Et c'est avec honte et injustice que je monte ma tête comme une super ponnette de dressage. Alexandre fier de son acte me replace directement au milieux du manège pour régler ses étriers. Il prenait beaucoup trop de temps et cela m'ennuyait alors je commencer à fermer les yeux et à m'endormir debout. Je commençais déjà à partir dans mes rêves quand Alexandre me donne un coup de talon un peu trop brutal, à ce moment précis je sursaute puis me cabre et le fait tomber sur le sol avant de partir au galop comme une furie. C'est Jeanne une monitrice qui m'as attraper et qui m'as remise entre les mains d'Alexandre. J'étais fâché et j'avais envie de me faire entendre ! Pourquoi les chevaux n'ont pas de justice ?